Poem...Pour vous

L amitie entre nous deux Et beaucoup plus forte Que l'amour. Elle ne sera jamais morte Cela ce vois dans tes yeux, Mais elle nous jouera des tours.

Pendant le concert, ce soir, Une etoile illuminera l'assemblee, Ce sera toi, et tu pourras voir, Que je serais-la a t'admirer ! Je t'aime tellement que j'en perds la memoire, Et ne sais plus quoi t'ecrire pour t'emouvoir, Si seulement tu pouvais, juste une fois, Dire que tu m aimes, comme ca, Dis simplement mais venant du coeur, Cette seule chose ferait mon bonheur

J'ai trop d'amour a donner, Que je garde depuis trop longtemps, Au fin font de mon coeur, Mais maintenant que je t'ai trouvee, Je peux l adresser, maintenant, A toi qui m'apporte de la chaleur. Cela etait si pesant Que tu m'en as libere. J'espere que tu ressens, Pour moi, beaucoup plus que de l'amitie ?

Sans toi, l'amour est loin, C'est un souvenir pas si loingtain, Que j'aimerais repasser, Sans m'y faire pieger. Ton m'a donner ton coeur, Je n'ai pas su lui donner, Un peu de chaleur, Pour le reconforter. Donne moi, une autre chance, Pour lui donner, L'amour, auquel je manque, Et je serais reconfortees.

Ce poeme est pour Adeline, Qui est tres bonne copine. Elle est sympa, belle, Mais specifiquement rebelle. Je te dedis ce poeme pour te prouver mon imagination, Tu ne dois pas avoir pour moi, une admiration Mais plutot de l'amitiee, Qui restera gravee. Tu m'a toujours aide, Quand j'en avais besoin, Et cette generausitee je le garderai Au centre de mon coeur, Et non pas dans un coin, Ou elle pourrait avoir peur AuTeUr AnOnYmE qUi A dEmAnDeR a DiFfUsEr SoNt PoEmE

Je t'ais donne mon coeur, Mais tu m'as fais tellement peur, Que maintenant je te le retire, Pour pouvoir enfin partir. Mon reve est de faire, le tour du monde, Pour rencontrer beaucoup de monde, Decouvrir la beaute de la Terre, Mais aussi de profiter de cette belle aire.

Je ne peus plus pacienter, Jusqu'au vacances prochaines, Je suis attachee a une chaine, Invisible, mais lourde comme du fer, Des quelles je ne peux me detacher, Mais le faite de te parler, Pourrais, les defaires.

Ton prenom LAURENT, Avet cette amour si airant, Qui est entre nous deux, Pourrais nous rendre heureux ? Pourquoi, toi l'homme si grand. Toi qui aimes si tendrement, Tous ceux qui t'entoure, N'as tu le temps pour l'Amour ? As tu poses tes yeux sur moi? Toi, L'Homme roi? Moi, je l'ai fais Et ne le regretterai, jamais.

Quand je t ai vue Pour la premiere fois, Je ne savais pas, Je ne pensais pas t aimer. Mais le destin est venu Et je t ai remarqué. Maintenan je te regarde, Je t attend, Mais tu ne viens. Mon coeur t'attend, T apartiens, Mais il se degrade

.Ce que t'avais prévu ..Je ne serai pas venue ...Te rejoindre en pleine rue ....J'avais 12 ans et j'étais bête .....J'ai cru que tu étais différent des autres garçons ......Que tu m'aimais peut-être .......En fait, t'étais encore plus con ........Au début, c'était comme dans mes rêves les plus fous .........Tu m'as embrassée dans le cou ..........Tu voulais qu'on marche un peu ...........Tu m'as pris la main, tu semblais si heureux ............Tu m'as emmenée un peu à l'écart du monde, .............Dans une petite ruelle toute sombre ..............Je m'en suis rendue compte trop tard ...............Mon rêve allait devenir un cauchemar ..............Tout à coup, tu n'étais plus le même .............Tu m'as plaquée contre le mur, fini les 'je t'aime' ............Tu m'as dit que t'avais envie de moi ...........Que je ne pouvais rien contre toi ..........Tu m'as tenue contre le mur et tu as serré, .........Une main sur ma bouche pour m'empêcher de crier ........Je sentais ton souffle rauque dans ma nuque .......Tandis que tu m'arrachais ma jupe ......Je ne savais pas quoi faire .....Ta main toujours sur ma bouche m'obligeait à me taire ....J'essayais de m'échapper ...Mais tu me tenais avec fermeté ..Je sentais mes jambes fléchir .J'ai cru que j'allais mourir Je te suppliais du regard .mais c'était sans espoir ..Ma jupe tombée par terre ...Ton jean déjà ouvert ....J'étais épouvantée .....Mais toi, tu riais ......Tu t'es collé contre moi .......Il n'y avait plus que ma culotte pour me séparer de toi ........A ce moment j'ai prié Dieu de m'évanouir .........Pour ne plus entendre tes soupirs ..........J'ai ressenti une douleur atroce ...........Tu m'avais pénétrée avec force ............Tes mains exploraient chaque parcelle de mon être .............Je ne pouvais plus crier, aucun son ne sortait ..............Tu prenais ton pied, j'étais ton jouet ...............Quand ça ne t'a plus amusé ..............Tu m'as retournée .............Et t'as recommencé ............Par derrière, pour changer ...........J'ai eu encore plus mal ..........Je me sentais si sale .........Tu m'avais souillée, ........Ruiné ma vie à jamais .......Quand t'as senti ton plaisir venir ......Tu m'as agenouillée devant toi .....T'as ouvert ma bouche, y enfonçant tes doigts ....Et tu m'y as enfoncé ton dard, sans prévenir ...J'avais envie de vomir ..J'avais envie de mourir .T'as évacué ton sperme dans ma bouche Tu m'as forcé à avaler toute la louche .Et puis t'es parti ..En me laissant là ...Seule, nue et meurtrie ....Au plus profond de moi .....Tu m'as juste fais jurer .......De ne jamais en parler ......Disant que t'étais sûr que j'avais aimé ça .....Même si je ne l'avouais pas ....Je t'aimais, tu sais ...Et ma virginité, ..Je te l'aurai donnée .Si t'avais pensé à me le demander Avant de me violer ! TeXtE Qu'Un AnOnYmE m'A dEmAnDeR dE dIfFuSeR